Une idée qui me séduit, que je vous propose de faire votre !
Certes amis(es)du #Pays basque me diront que nous avons la chance de vivre dans une région très verte mais lorsque je vois les jardiniers municipaux arroser de pesticide les brins d’herbes autour des arbres et le long des murs de #Biarritz cela me rends triste!La nature ne fait que de tenter de reprendre ses droits que nous flouons en permanence pour imposer les nôtres!
Grâce à au projet « Sauvages de ma rue », des citoyens scrutent, surveillent et photographient les plantes sauvages urbaines. Et les scientifiques se chargent ensuite de faire parler ces données.
Dans les sillons du bitume, le long des murs et malgré les pavés, les plantes sauvages colonisent fièrement chaque bout de trottoir. En général, nous ne les voyons pas. Souvent, elles sont chassées à coup de pesticides. Mais, depuis 2011, quelques centaines de citoyens les scrutent, les surveillent, les photographient et les mesurent. Ils participent à un vaste projet de science participative appelé « Sauvagesdemarue », co-piloté par l’association Tela Botanica et le Muséum national d’histoire naturelle de Paris.
Les résultats obtenus sont impressionnants. Pas moins de 42 000 végétaux urbains appartenant à plus de 1000 espèces différentes ont été répertoriés dans les villes françaises…
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