Peio SERBIELLE  un nom qui me parle, un regard qui me touche une voie qui m’émeut !

Je ne parle pas, ni ne comprends le basque, hélas(certains me l’ont reproché) mais mon appartenance à ce pays est comme lui (qui apprit la langue basque à 18 ans!)est pourtant viscérale!

Cet #artiste, cette voix me touche profondément, des frissons en pagaille, oui depuis que je l’ai entendu dans le début des années 90, il enregistrait alors chez AGORILA! Avec ce titre   et celui -là, que j’ai retrouvé sur You tube:)

A l’heure où l’on parle de #liberté d’expression cet artiste basque fut privé de sa liberté d’expression, de créer, de chanter durant près de 7années dont plus d’1 année de prison (accusé d’accueillir des membres de l’ETA sous son toit) Le Pays Basque est encore aujourd’hui une terre d’accueil pour celui qui à faim, soif, une de nos valeurs!

Petit résumé de ces années,  là en image emprunté à France 3  magazine(La Voix retrouvée)

Aujourd’hui le sourire aux lèvres, sa voix intacte, l’espoir retrouvée c’est une renaissance!

Maintenant sur de nouveaux et nombreux projets dont celui de questionner des personnalités de #Biarritz et d’ailleurs, sur leurs passions, leurs désirs, leur volonté d’appartenance au Pays basque, leur choix d’être Basque, de vivre au Pays Basque.

Face à face avec un chef bien connu , pétillant, généreux, d’ici et d’ailleurs: Alain DARROZE, lui qui en son temps fut le CHEF à l’Elysée !

Et bien d’autres personnalités à découvrir sur son tumblr !

A l’automne 2014 Peio SERBIELLE à sorti un album nous offrant de découvrir des aspects de musiques et langues celtes, tour à tour bretonne, écossaise, il nous permet de rencontrer des hommes et des femmes d’autres horizons.

C’est aussi la joie de chanter,ici : Zugan( traduction : tu es en basque) avec son ami Gilles SERVAT, toujours dans le partage, avec la participation des élèves du collège Diwan de Vannes, et de l’Ikastola Zurriola de Saint-Sébastien.

La fraîcheur de nouvelles rencontres pour nourrir toujours en encore sa créativité !

Merci d’être toujours là Peio !

A bientôt